Né de l’érosion d’un glacier lors de la dernière glaciation, Le Creux-du-Van (« roc » en celte), dont les falaises sont en calcaire, n’est pas le résultat de l’impact d’une météorite comme certaines théories fantaisistes l’ont imaginé autrefois. En 1876, le Club jurassien rachète ses éboulis afin de les protéger, ce qui en fait la première réserve naturelle neuchâteloise de 25 km2. Des bouquetins, des chamois, des chevreuils, des lièvres, des grands tétras et des lynx (réintroduits en 1974-75) y vivent en liberté. Les populations animales ayant presque disparu en 1900, La conscience écologique qui s’est développée au cours du 20e siècle a favorisé la protection des besoins de la faune et de la flore locales. Avec succès.
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